Si vous me suivez sur Instagram, vous savez déjà qu’il y a à peine une semaine, j’ai acheté une scan n Cut d’occasion.
Mais qu’est ce que c’est, cette machine ?
Comme l’indique son nom, c’est une machine qui peut scanner, et qui peut découper ! Mais… pourquoi avoir acheter cette machine ?
Dans une époque où nous tentons d’économiser nos ressources, où nous cherchons à recycler intelligemment afin de limiter les déchets, des pratiques comme le troc, l’échange, l’achat de produits de seconde main sont devenues virales.
Dans le monde de la couture, puisque que c’est la base de ce blog, il existe des puces des couturières où l’on peut retrouver des coupons de tissus, de la mercerie, des patrons de seconde main à moindre coûts. Il existe également des couturières 2.0 qui mettent en vente leur reste de coupons, les patrons qu’elles n’utilisent plus, en diffusant des annonces dans des groupes Facebook dédiés, ou sur Instagram avec des comptes spécifiques.
Mais dernièrement, une pratique commence à faire son apparition sur les réseaux sociaux : le troc de patrons…. PDF. Et par là, j’entends des patrons payants. Mais où est le problème
Afin de sensibiliser la communauté couture vis-à-vis de cette pratique, j’ai fait appel à plusieurs créatrices de patrons. C’est grâce à leurs témoignages que j’ai pu rédiger cet article.
On pense souvent qu’en couture, il n’y a que du tissu à acheter. Et bien non ! Il y a aussi toute la mercerie : le fil, les zip, les boutons. C’est de ces derniers dont je vais vous parler aujourd’hui !
Personnellement, je trouve toujours que les jolis boutons sont dispendieux. On passe du temps à coudre un joli chemisier, et lorsque l’on veut mettre de jolis boutons on se rend vite compte que la somme devient vite astronomique ! Du coup, on se rabat sur des boutons blancs ou noirs, tout bête…
On m’a récemment fait découvrir un site entièrement dédié aux boutons. Ce site, c’est….